Ottawa (Ontario) — Le Conseil des Jeux du Canada (CJC), en partenariat avec IMI International, a publié une étude nationale sur l’impact de la pandémie sur l’activité sportive des jeunes.

On a demandé à plus de 2 000 Canadiens âgés de 13 ans et plus, dont 600 jeunes âgés de 13 à 24 ans, s’ils prévoyaient de reprendre le sport une fois les restrictions liées à la COVID levées. Près d’un jeune sur trois ne savait pas s’il reviendrait et 20 % des participants actifs ont répondu qu’ils n’avaient pas l’intention d’y retourner.

Les principales conclusions de l’étude sont les suivantes :

• -La majorité des jeunes/adolescents qualifient les restrictions sportives pendant le confinement dû à la COVID-19 de « tristes » et de « malheureusement nécessaires »
• 1 jeune Canadien sur 3 ne savait pas s’il retournerait au sport
• 1 jeune canadien actif sur 5 (20 %) déclare ne pas avoir l’intention de reprendre le sport après la levée des restrictions liées à la COVID-19
• -69 % des Canadiens pensent que le sport sera essentiel pour motiver et engager les adolescents et les jeunes après les restrictions liées à la COVID.
• -84 % des parents de jeunes/adolescents canadiens pensent que le sport a un impact positif sur la santé mentale et/ou le niveau de stress de leur enfant

« La pandémie a eu un impact énorme sur tous les Canadiens, mais ces données inquiétantes suggèrent que notre communauté sportive doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour soutenir le bien-être à long terme de la jeunesse canadienne, en restant engagée dans le sport », a déclaré Dan Wilcock, président et chef de la direction de la CCG. « Les avantages du sport sont évidents pour le développement de la prochaine génération de Canadiens, mais des milliers de jeunes Canadiens semblent risquer de ne pas bénéficier des avantages physiques et mentaux liés à la pandémie. À mesure que nous progressons, nous voulons favoriser un environnement sûr et accueillant qui incite les Canadiens à profiter des avantages du sport. »

Les Jeux du Canada, l’événement le plus important du pays pour le sport amateur, ont récemment dévoilé un nouvelle marque identité reflétant son ambition de « susciter l’excellence » dans la prochaine génération d’athlètes, de leaders et de communautés canadiens.

« Il est important de continuer à se fixer des objectifs et à rester active », a déclaré Catriona Le May Doan, vice-présidente de la CCG. « Les lendemains seront meilleurs et des événements tels que les Jeux du Canada joueront un rôle clé pour donner aux jeunes athlètes un objectif à atteindre. Le sport, le jeu d’équipe et la compétition ont joué un rôle central dans mon parcours et m’ont vraiment motivée pendant les années clés de mon adolescence. Nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour susciter l’excellence chez la prochaine génération de Canadiens alors qu’ils visent l’excellence dans le sport et au-delà. »

Organisés tous les deux ans, en alternance entre l’hiver et l’été, les Jeux du Canada rassemblent plus de 2 000 athlètes valides et athlètes ayant des déficiences physiques et intellectuelles dans le cadre du plus grand événement multisports amateur du pays. Les prochains Jeux d’été auront lieu du 6 au 21 août 2022 dans la région de Niagara. Les Jeux d’hiver du Canada 2023 auront lieu à l’Île-du-Prince-Édouard.

À propos du Conseil des Jeux du Canada
Le Conseil des Jeux du Canada, un organisme privé à but non lucratif, est l'organe directeur des Jeux du Canada. Organisés une fois tous les deux ans, en alternance entre l'hiver et l'été, les Jeux du Canada représentent le plus haut niveau de compétition nationale pour les athlètes canadiens de la relève. Les Jeux ont été organisés dans chaque province au moins une fois depuis leur création à Québec à l'occasion du centenaire du Canada en 1967. Les Jeux sont fiers de leur contribution au système de développement du sport du Canada, en plus de leur héritage durable en termes d'installations sportives, de fierté communautaire et d'unité nationale. L'organisation des Jeux du Canada est rendue possible grâce au dévouement inlassable des sociétés hôtes locales et à la contribution et au soutien des gouvernements fédéral, provinciaux/territoriaux et des municipalités hôtes.

Nous tenons à souligner que la terre sur laquelle nous travaillons est le territoire traditionnel du peuple algonquin anishinabek, dont les traces ont façonné cette terre depuis des temps immémoriaux.

Contact pour les médias
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